LES DIX COMMANDEMENTS (Livre du Deutéronome chapître 5: l'Ancienne Alliance).


Je suis l’Eternel, ton Dieu, qui t’a fait sortir du pays d’Egypte, de la maison de l'esclavage (L'Egypte est une fresque de l'esprit du monde, de Mamon).


Tu n’auras pas d’autres dieux devant ma face.

Tu ne te feras pas d’image taillée, de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre pour te prosterner devant elles, et tu ne les serviras pas; car moi, l’Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et à la quatrième génération de ceux qui me haïssent, et qui a compassion jusqu’en mille générations pour ceux qui m’aiment et qui gardent mes commandements.


Tu ne prendras pas le nom de l’Eternel, ton Dieu, à la légère car l’Eternel ne laissera pas impuni celui qui prendra son nom en vain.


Observes le jour du repos, pour le mettre à part, comme l’Eternel, ton Dieu, te l’a ordonné. Tu travailleras six jours, et tu feras tout ton ouvrage. Mais le septième jour est le jour du repos de l’Eternel, ton Dieu: tu ne travailleras pas, ni toi, ni ton fils, ni ta fille, ni ton serviteur, ni ta servante, ni ton bœuf, ni ton âne, ni aucune de tes bêtes, ni l’étranger qui est chez toi, afin que ton serviteur et ta servante se reposent comme toi. Tu te souviendras que tu as été esclave au pays d’Egypte, et que l’Eternel, ton Dieu, t’en a fait sortir à main forte et à bras étendu: c’est pourquoi l’Eternel, ton Dieu, t’a ordonné d’observer le jour du repos.


Honores ton père et ta mère, comme l’Eternel, ton Dieu, te l’a ordonné, afin que tes jours se prolongent et que tu sois heureux dans le pays que l’Eternel, ton Dieu, te donne.


Tu ne tueras pas.


Tu ne commettras pas d’adultère (qui est la trahison d'une alliance).


Tu ne déroberas pas (Tu ne voleras pas).


Tu ne porteras pas de faux témoignage (de calomnie) contre ton prochain.


Tu ne convoiteras pas la femme de ton prochain; tu ne désireras pas la maison de ton prochain, ni son champ, ni son serviteur, ni sa servante, ni son bœuf, ni son âne, ni aucune chose qui appartienne à ton prochain.


Telles sont les paroles que prononça l’Eternel à haute voix sur la montagne, du milieu du feu, des nuées et de l’obscurité, et qu’il adressa à toute votre assemblée, sans rien ajouter. Il les écrivit sur deux tables de pierre, qu’il me donna.

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