Un texte vrai trouvé sur le Net (d'un certain Guy Olinga):

La Bible nous dit : « Or nous, nous n'avons pas reçu l'esprit du monde, mais l'Esprit qui vient de Dieu, afin que nous connaissions les choses que Dieu nous a données par sa grâce. Et nous en parlons, non avec des discours qu'enseigne la sagesse humaine, mais avec ceux qu'enseigne l'Esprit, employant un langage spirituel pour les choses spirituelles. Mais l'homme animal ne reçoit pas les choses de l'Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c'est spirituellement qu'on en juge. L'homme spirituel, au contraire, juge de tout, et il n'est lui-même jugé par personne.

Car Qui a connu la pensée du Seigneur, Pour l'instruire? Or nous, nous avons la pensée de Christ. »


Elohîm [ndlr: signifie littéralement en hébreu "Dieux", au pluriel] distingue sur la terre deux catégories d’individus : l’homme animal et l’homme spirituel. « Mais l’homme animal ne reçoit pas les choses de l’Esprit de Dieu, car elles sont une folie pour lui, et il ne peut les connaître, parce que c’est spirituellement qu’on en juge. » (1 Corinthiens 2:14 Bible version Louis Segond).

Quelle peut être votre identité ?

Tout le message biblique est donné, non seulement pour nous aider à discerner notre identité selon Elohîm, mais aussi de nous révéler comment passer de l’identité d’homme animal à celle d’homme spirituel. Yeshoua (Jésus) dit fort à propos à ce sujet « Celui qui est né de la chair est animal, et celui qui est né du Souffle sacré est un esprit. » (Jean 3:6)

L’homme spirituel est donc celui-là qui est né d’en-haut, né de l’action conjuguée du Souffle sacré et de la Conscience de YHWH. Il serait fastidieux de vouloir décrire l’homme animal et l’homme spirituel, car ce serait réécrire la Bible. Je me permets cependant ici de rappeler quelques indicateurs permettant de reconnaître notre identité en Elohîm.

Reconnaître votre identité

1. La Bible parle uniquement à des hommes spirituels, et ils sont les seuls à pouvoir en pénétrer le sens selon YHWH. Quant à ce qui est des hommes animaux, ils lisent la Bible pour se l’imposer, alors qu’elle ne les concerne pas. Raison pour laquelle ils la comprennent selon le monde, la forme, la chair, Satan.

2. L’homme spirituel lit la Bible de l’Esprit vers la lettre, de l’intuition vers les perceptions sensorielles, pour croître en esprit vers la stature de YHWH, en Yeshoua, par la puissance du Souffle sacré. Quant à l’homme animal, il s’accroche à la lettre, aux versets bibliques, aux mots, à la forme, pour croître dans son mental, son intellect, sa capacité de discourir, afin de pouvoir jouer les docteurs de la loi qui impressionnent les ignorants.

3. L’homme spirituel est inconfortable à épiloguer sur la forme, les apparences et les comportements. La seule chose qui le préoccupe, c’est pénétrer la Conscience de YHWH, le Christ, et pénétrer le Souffle sacré qui l’a fait se lever de la mort. Tandis que l’homme animal se contente de réciter quelques versets bibliques, et de faire quelques déclarations incantatoires, pour affirmer qu’il a la foi en son assurance d’un salut de ce qu’il ne saurait nommer.

4. Etc.

 Tous sont des imposteurs qui s’ignorent

Si le lecteur de la Bible contemporain se donnait la peine de s’examiner pour savoir s’il est homme animal ou homme spirituel, il se rendrait rapidement compte de ce que la terre toute entière, et lui-même avec, est envoûtée, possédée, séduite selon Apocalypse 12:9.

Tous sont dans le mensonge et le déni. Tous prétendent aimer Elohîm, et pourtant ils renient ce qui en fait la puissance : le Souffle sacré.

Tous disent être des nés de nouveau, des fils de Dieu, alors qu’ils sont divisés en dénominations religieuses qui se combattent et se rejettent.

Tous disent qu’ils sont nés de l’Esprit, alors qu’ils ne sont qu’ego, portés à se singulariser par leur personnalité qu’ils imposent en objet d’admiration, que dis-je, adoration à leurs semblables.

Oh imposture, quand tu nous tiens. Mais toi, mon cher ami, renonce à ta personnalité, renonce au déni, renonce au mensonge.

Guy Olinga.